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Actualités Politiques 

Ministre d’État, Ministre des Affaires Foncières, Son Excellence Acacia Bandubola Mbongo

Ministre d’État, Ministre des Affaires Foncières, Son Excellence Acacia Bandubola Mbongo

AFFAIRES FONCIÈRES | Ministre d’État Acacia Bandubola Mbongo, a présenté au Conseil des Ministres deux Notes d'information.

La Ministre d’État, Ministre des Affaires Foncières, Acacia Bandubola Mbongo, a présenté au Conseil des Ministres, lors de la séance du vendredi 5 juillet 2025, deux notes d'information importantes.

Première note : Tentative de spoliation foncière à Bandalungwa

La première note a porté sur une tentative de spoliation d’un espace foncier situé dans la commune de Bandalungwa. La Ministre a détaillé les mesures rigoureuses prises par son Ministère pour contrer cette action illégale, protéger les droits des propriétaires légitimes et garantir la sécurité foncière dans cette zone sensible. Ces mesures incluent notamment des interventions rapides sur le terrain, la mobilisation des autorités compétentes et la mise en place d’un suivi renforcé pour prévenir toute récidive.

Deuxième note : Proposition de solution définitive pour le conflit foncier à N'sele

La deuxième note a présenté une proposition de solution définitive visant à résoudre le conflit foncier persistant dans les concessions du domaine Agro-industriel Présidentiel de la N'sele, ainsi que dans les zones du Parc Présidentiel de la N'sele (ICCN) et du domaine Touristique de la N'sele. Cette proposition s’appuie sur une approche concertée impliquant les différentes parties prenantes, avec pour objectif d’établir un cadre clair et durable pour la gestion et la protection de ces espaces stratégiques, tout en respectant les intérêts économiques, environnementaux et sociaux.

Ces initiatives témoignent de l’engagement ferme de la Ministre Acacia Bandubola Mbongo à promouvoir une gestion foncière transparente, équitable et pacifique, essentielle pour le développement harmonieux du pays.

Dans la nuit du 2 au 3 juillet 2025, un incident grave s’est produit aux abords du site minier T17, exploité par l’entreprise KC

Un bus transportant des travailleurs a été violemment caillassé par des creuseurs artisanaux, provoquant plusieurs blessures parmi les passagers. Cet acte de violence a semé la panique et ravivé les inquiétudes concernant la sécurité autour des sites miniers à Kolwezi.

Un contexte de tensions persistantes

Les attaques contre les véhicules et le personnel des entreprises minières ne sont pas un phénomène isolé dans cette région riche en ressources naturelles. Les creuseurs artisanaux, souvent en conflit avec les sociétés minières, expriment ainsi leur mécontentement face aux conditions d’exploitation et aux enjeux liés à l’accès aux ressources.

Conséquences pour les travailleurs et les opérations minières

Outre les blessures physiques subies par les travailleurs, ces incidents perturbent considérablement les activités des entreprises minières, compromettant la sécurité du personnel et la continuité des opérations. La situation appelle à une réponse urgente des autorités locales et nationales pour renforcer la protection des sites et garantir la sécurité des employés.

Appel à une meilleure gestion de la sécurité

Face à ces événements, il est crucial que les acteurs concernés, y compris les forces de sécurité, les entreprises minières et les communautés locales, collaborent pour instaurer un climat de paix et de sécurité. Des mesures adaptées doivent être mises en place pour prévenir de futurs incidents et assurer un environnement de travail sûr pour tous.

Paul Kagame, Président de la République du Rwanda

Paul Kagame, Président de la République du Rwanda

Selon un rapport récent de l’ONU, révélé par le journal «De Standaard», PaulKagame envisagerait annexé l’Est du Congo au Rwanda.

Ce document met en lumière la persistance d’une influence marquée du Rwanda et des rebelles du M23 dans cette région stratégique du Congo.

Le rapport souligne que, malgré les engagements pris lors de l’accord, le Rwanda continue de soutenir activement les groupes armés, notamment le M23, consolidant ainsi son contrôle sur plusieurs territoires de l’est congolais. Cette situation alimente les tensions et compromet les efforts de paix dans la région.

Cette mainmise prolongée soulève des inquiétudes quant à la stabilité et à la souveraineté de la RDC, appelant à une vigilance accrue de la communauté internationale et à une mise en œuvre rigoureuse des accords signés pour garantir la paix durable.

Maison blanche, President Donald Trump

Maison blanche, President Donald Trump

MONDE | ACCORD RDC - USA 

Un avertissement clair contre la violation de l’accord

Il est essentiel de comprendre que toute tentative de violer cet accord sera confrontée à une opposition ferme des États-Unis. Ceux qui oseront s’y opposer devront faire face à des conséquences sérieuses. Ce message souligne la détermination internationale à préserver la paix en République Démocratique du Congo.

La volonté collective d’éviter un nouveau conflit

La guerre en RDC est désormais rejetée par tous les acteurs concernés. Il est impératif que chacun prenne conscience de cette réalité et agisse en conséquence pour empêcher toute escalade. La stabilité et la sécurité du pays dépendent de cet engagement commun à respecter les accords et à privilégier le dialogue.

Un appel à la responsabilité et à la vigilance

Dans ce contexte, il est crucial que les parties prenantes restent vigilantes et responsables afin de garantir le respect des engagements pris. La communauté internationale, notamment les États-Unis, se tient prête à intervenir pour défendre la paix et la sécurité dans la région.

AFC/M23, Kabila Joseph

AFC/M23, Kabila Joseph

RDC | Analyse du virage politique et médiatique autour de Joseph Kabila

Le paysage politique congolais a récemment été marqué par une série d’événements et de déclarations contradictoires concernant Joseph Kabila et son rôle supposé dans les conflits à l’Est du pays. Ce phénomène, que l’on pourrait qualifier de « virage à 180 degrés », soulève de nombreuses interrogations, notamment sur la cohérence des discours officiels et l’interprétation des experts des réseaux sociaux.

Acte 1 : Accusations initiales et contradictions

Le Président Félix Tshisekedi a publiquement accusé Joseph Kabila de préparer une insurrection et de diriger l’Alliance des Forces du Congo (AFC). Cette affirmation a suscité des réactions vives sur les réseaux sociaux, où certains experts ont contesté cette thèse, parfois en usant de propos discourtois envers le Président. Par ailleurs, Joseph Kabila, qui en 2012 qualifiait le M23 de mouvement terroriste, a récemment changé de position en reconnaissant les aspirations légitimes de ce groupe, sans que les experts expliquent clairement ce revirement.

Acte 2 : Déclarations contradictoires et tensions à Goma

Lors d’une visite en Allemagne, Félix Tshisekedi a réitéré que l’AFC est dirigée par Joseph Kabila, ce que les experts des réseaux sociaux ont qualifié d’élucubrations. En réponse, Kabila a minimisé ces accusations, affirmant que s’il était réellement le chef des terroristes, la situation serait différente. Peu après, son arrivée annoncée à Goma, ville toujours sous contrôle des groupes armés, a été accueillie favorablement par ces derniers, ce qui a renforcé les tensions sécuritaires dans la région.

Acte 3 : Réactions politiques et mesures gouvernementales

Les proches de Kabila et certains médias ont justifié sa présence à Goma en invoquant l’article 30 de la Constitution, qui garantit à tout citoyen le droit de séjourner où il le souhaite. En parallèle, le gouvernement, s’appuyant sur des rapports de renseignement, a pris des mesures conservatoires contre le parti de Kabila, provoquant des accusations d’acharnement de la part des kabilistes. Ces derniers ont ainsi critiqué le gouvernement pour avoir agi sur la base de rumeurs, alors qu’ils-mêmes avaient diffusé ces mêmes informations.

Acte 4 : Levée des immunités et escalade des tensions

Le Ministère de la Justice a ordonné l’activation des mécanismes pour lever les immunités de Joseph Kabila, accusé de complicité avec un mouvement terroriste. Le Sénat a finalement levé ces immunités, suscitant de nouvelles réactions des experts des réseaux sociaux, souvent qualifiées de stériles. Peu après, Kabila est apparu dans un live diffusé par une chaîne rwandaise, annonçant son départ pour Goma, alors que les renseignements indiquaient qu’il y résidait déjà.

Acte 5 : Dissolution du parti et alliances controversées

Le gouvernement a saisi le parquet pour demander la dissolution du Parti PPRD, accusé de complicité avec un mouvement terroriste. Les experts des réseaux sociaux ont une fois de plus émis des théories confuses. Par ailleurs, le représentant diplomatique de Kabila a été vu en discussion avec le M23, en interface avec Mme Bintou Keita, ce qui alimente les suspicions d’alliances entre le parti de Kabila et les groupes armés.

Acte 6 : Partenariat minier et implications sécuritaires

Dans le cadre du partenariat « Minerais contre Sécurité », le gouvernement avance dans ses négociations. Cependant, Joseph Kabila aurait envoyé des émissaires pour défendre ses prétendus droits dans cette affaire d’État à État, ou pour faire échouer le partenariat. Cette posture est paradoxale, car Kabila, considéré comme le chef des terroristes, ne devrait pas avoir de légitimité dans ces négociations. Le représentant diplomatique de Kabila a même affirmé partager les mêmes objectifs que les terroristes, assumant ainsi une responsabilité dans les assassinats quotidiens de civils et militaires, majoritairement swahiliphones, dans l’Est du pays.

Conclusion : Entre discours officiels et analyses des réseaux sociaux

Ce virage à 180 degrés dans les positions et déclarations autour de Joseph Kabila reste difficile à expliquer clairement, notamment par les experts des réseaux sociaux qui n’ont jamais apporté d’éclairage satisfaisant. La question demeure : qui a raison entre le Président Félix Tshisekedi et ces experts ? Comme le dit l’adage, « chassez le naturel, il revient au galop ».

Maison blanche

Maison blanche

WASHINGTON | ACCORD DE PAIX RDC VS RWANDA

Comprendre le choix du terme « désengagement » dans l’accord RDC-Rwanda

A Washington, un accord de paix important sera signé entre la République Démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, par l’intermédiaire de leurs Ministères des Affaires Étrangères. Cet accord prévoit le retrait des troupes rwandaises du territoire congolais. Cependant, le terme officiel retenu dans le document est « désengagement » plutôt que « retrait ». Pourquoi ce choix de vocabulaire ?

Le désengagement : un concept militaire plus global

Le terme « désengagement » est en effet plus large et englobe plusieurs actions militaires complémentaires :

  • Le retrait effectif des troupes sur le terrain,
  • L’arrêt total des combats,
  • Le retrait des personnels militaires,
  • Le retrait du matériel militaire,
  • Le retrait des dispositifs de défense installés.

En ce sens, le désengagement dépasse la simple évacuation des soldats. Il s’agit d’un processus complet visant à mettre fin à toute présence et activité militaire sur le territoire concerné.

Un exemple concret : le cas de la MONUSCO à Bukavu

Ce processus a déjà été observé dans le cadre du retrait de la MONUSCO à Bukavu, où le désengagement a impliqué non seulement le départ des forces, mais aussi la cessation des opérations et le démantèlement des installations militaires.

Le désengagement, une étape clé vers la paix durable

Le retrait n’est donc qu’une étape dans ce processus plus large de désengagement. À l’inverse, l’« engagement » désigne l’entrée en conflit d’une armée. Ainsi, le Rwanda est appelé à désengager entièrement ses forces du territoire congolais, ce qui signifie un retrait complet et une cessation totale des hostilités.

Les prochaines étapes diplomatiques

Dans le cadre de cet accord, les deux ministres des Affaires étrangères se réuniront prochainement avec l’ancien président américain Donald Trump, ce qui souligne l’importance internationale de ce processus.

Un appel à la vigilance

Il est important de rester prudent face aux communications officielles, notamment sur les réseaux sociaux, où des informations erronées ou trompeuses peuvent circuler. Il convient donc de suivre de près l’évolution de cet accord et les déclarations des autorités compétentes.

RDC | Le Président de la République a reçu en audience le Chef d’état-major de l’armée ougandaise, Général Muhoozi Kainerugaba,

Cité de l'OUA

Cité de l'OUA

Ce samedi, à la Cité de l’Union africaine, le Président de la République, Félix Tshisekedi, a reçu le Général Muhoozi Kainerugaba, Chef d’état-major et Commandant de l’armée ougandaise (UPDF), en visite de travail à Kinshasa depuis vendredi dernier.

Profitant de sa présence dans la capitale congolaise, dans le cadre de l’évaluation de l’opération militaire conjointe FARDC-UPDF avec son homologue congolais, le Général Jules Banza Mwilambwe, le Chef d’État-major ougandais est venu présenter ses civilités au Président Félix Tshisekedi, Commandant suprême des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC).

Palais du Peuple : Nicolas Kazadi bénéficie d’une protection politique importante.

Nicolas Kazadi, Ancien Ministre des Finances

Nicolas Kazadi, Ancien Ministre des Finances

Lors de la séance tenue à huis clos, 357 députés ont voté contre le réquisitoire du procureur général près la Cour de cassation, tandis que seulement 7 députés s’y sont opposés et 6 se sont abstenus.

En conséquence, l’ex-ministre des Finances ne sera pas auditionné dans cette affaire. Cette décision suscite de nombreux débats quant à l’impartialité des institutions et la transparence des procédures judiciaires en cours.

Contexte et implications

La séance à huis clos souligne la sensibilité du dossier et la volonté de limiter l’exposition médiatique. Ce vote massif en faveur de Nicolas Kazadi reflète un soutien politique significatif au sein de l’Assemblée nationale, ce qui pourrait influencer le cours des investigations.

Cette situation soulève des questions sur l’équilibre entre la justice et la politique, ainsi que sur la confiance des citoyens dans les institutions chargées de veiller à la bonne gouvernance.

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