Icône de la musique congolaise et Ambassadeur de la paix, Werrason met sa voix et sa notoriété au service de la campagne Mieux vivre ensemble. Dans ce message fort, l’artiste engagé rappelle qu’en ce moment, plus que jamais, nous avons besoin de fraternité et de solidarité.

Un appel à l’unité nationale

Lui qui, depuis des décennies, fait vibrer l’Afrique et le monde, nous invite aujourd’hui à construire ensemble un Congo plus uni, plus apaisé et respectueux de chacun. Son engagement artistique se transforme en un véritable plaidoyer pour la paix sociale et la cohésion entre toutes les communautés du pays.

La musique comme vecteur de paix

À travers ses chansons et ses prises de parole, Werrason illustre le pouvoir de la musique pour rassembler et inspirer. Il encourage chacun à dépasser les divisions et à œuvrer pour un avenir commun, fondé sur le respect mutuel et la solidarité.

L’Alliance des autorités traditionnelles et coutumières pour le Grand Congo (AATCC) a officiellement engagé une action en justice contre la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) et l’Église du Christ au Congo (ECC). Le président de l’AATCC, Emmanuel Lemba-Lemba, accompagné de ses collègues, a déposé ce mercredi 16 juillet une plainte auprès du parquet près de la Cour de cassation.

Les motifs de la plainte

L’AATCC reproche à la CENCO et à l’ECC d’avoir initié un processus de paix en usurpant le pouvoir coutumier, ce qui constitue selon eux une violation de la Constitution, notamment de l’article 207, alinéa 4. Cette action est perçue comme une ingérence dans les prérogatives traditionnelles des autorités coutumières, qui revendiquent leur rôle central dans la médiation et la gestion des conflits au sein des communautés.

Contexte et enjeux

Cette plainte souligne les tensions persistantes entre les institutions religieuses et les autorités coutumières dans la gestion des affaires sociales et politiques. L’AATCC affirme ainsi son attachement au respect des cadres constitutionnels et à la reconnaissance du rôle des structures traditionnelles dans la gouvernance locale.

Ce litige met en lumière la complexité des relations entre les différentes autorités en RDC, où le pouvoir coutumier joue un rôle important dans la cohésion sociale et la résolution des conflits. La suite de cette procédure judiciaire sera suivie de près, car elle pourrait avoir des répercussions sur le dialogue entre les acteurs religieux et coutumiers dans le pays.

Ce mercredi, au Centre culturel et artistique des pays d’Afrique centrale à Kinshasa, dans une ambiance à la fois festive et hautement symbolique, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a officiellement lancé la première édition du festival mondial de la Musique et du Tourisme. Cet événement inédit vise à promouvoir la richesse culturelle, artistique et touristique de la République Démocratique du Congo (RDC) sur la scène internationale.

La cérémonie a réuni plusieurs membres du gouvernement, des représentants du corps diplomatique, des artistes nationaux et internationaux, ainsi que des acteurs du secteur touristique.

Un discours d’ouverture axé sur la culture et le tourisme

Dans son allocution, le Chef de l’État a souligné l’importance de la culture et du tourisme comme piliers du développement durable et de la diplomatie culturelle. « Ce festival incarne pleinement notre volonté de mobiliser les forces culturelles et créatives de la Nation pour raffermir l’unité nationale et projeter, avec fierté et ambition, une image renouvelée, positive et inspirante de la RDC sur la scène internationale », a déclaré le Président Tshisekedi.

Il a également rappelé que la RDC, dotée d’une richesse culturelle, artistique et naturelle exceptionnelle, s’affirme désormais comme un acteur incontournable de la scène culturelle africaine et mondiale.

Un festival pour valoriser la musique et le tourisme congolais

Ce festival mondial a pour ambition d’inscrire la RDC parmi les grandes destinations culturelles du continent africain et du monde. Il servira de plateforme d’échange entre artistes internationaux et locaux, contribuant au rayonnement de la musique congolaise, patrimoine immatériel de l’humanité. « En unissant les rythmes du monde et les trésors de nos territoires, ce rendez-vous illustre l’ambition de bâtir des ponts entre les peuples, par l’art, l’échange et la découverte », a-t-il ajouté.

Organisé par le ministère de la Culture et des Arts en partenariat avec celui du Tourisme, sous le thème « La route de la rumba pour la paix en RDC », ce festival se tiendra pendant trois jours, du 16 au 18 juillet 2025. Il mettra en lumière la diversité musicale congolaise, du soukous aux musiques traditionnelles, tout en offrant une vitrine aux sites touristiques majeurs du pays.

Un impact économique et social attendu

Par cette initiative, le gouvernement entend stimuler l’économie locale, notamment dans les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration et du transport. Le festival vise également à créer des opportunités pour la jeunesse congolaise active dans les domaines de la culture, de l’art et de l’entrepreneuriat touristique.

La première journée s’est achevée par une série de prestations musicales vibrantes, célébrant l’unité dans la diversité, et marquant le début d’un rendez-vous culturel que le Congo espère pérenniser. Une visite d’exposition des produits et services liés au tourisme a également été organisée dans le cadre de cet événement.

Jean Goubald exprime sa compassion envers Corneille Nangaa, mais il remet en question sa capacité à diriger le peuple congolais. Selon lui, la gouvernance repose avant tout sur la confiance mutuelle entre le dirigeant et les citoyens. Or, comment accorder cette confiance à Nangaa, alors que ce dernier a lui-même publié les résultats des élections de 2018, proclamant la victoire de Tshisekedi, pour ensuite les renier ?

Cette contradiction majeure jette un doute profond sur la crédibilité de Nangaa. En trahissant ainsi la confiance du peuple, il compromet non seulement son intégrité personnelle, mais aussi sa légitimité à exercer une fonction de leadership. Pour Jean Goubald, cette incohérence est un obstacle insurmontable qui discrédite totalement la prétention de Corneille Nangaa à diriger le pays.

Les conséquences de la perte de confiance

Dans un contexte politique aussi sensible, la confiance est un pilier essentiel pour assurer la stabilité et la cohésion sociale. La remise en cause de cette confiance peut engendrer un climat de méfiance généralisée, fragilisant les institutions et alimentant les tensions. L’artiste musicien souligne ainsi l’importance d’une conduite transparente et cohérente pour restaurer la foi des citoyens dans leurs dirigeants.

Quinze jours de voyage pour aller de Brazzaville (Congo) à Bangui (Centrafrique). 1 500 personnes recréent une vie de village sur ces barges, reliées entre elles, qui transportent des matières premières. Une vraie vie de village avec ses familles, ses commerçants. Des personnages fascinants ; Henriette par exemple, passagère régulière et commerçante, fabrique et vend des beignets à bord, assistée de son personnel de pygmées (spectateurs silencieux de cette armada insensée). Régulièrement, des pirogues de pêcheurs viennent s'amarrer au convoi qui ne s'arrête pas pour autant, pour y vendre leurs produits. Des images magnifiques d'une Afrique vivante et joyeuse, le long d'un des plus beaux fleuves du monde.

Le troisième jour de travail a été entièrement consacré aux consultations avec les principaux acteurs du secteur musical, des arts vivants et des arts plastiques. Cette journée a permis de rassembler diverses associations représentatives afin d’échanger sur les enjeux et les perspectives du secteur culturel.

Les associations présentes

• L’AMCC – Association des Musiciens Chrétiens Congolais
• L’ACOM – Association Congolaise des Musiciens
• L’UMUCO – Union des Musiciens Congolais
• L’Association des Artistes du Folklore
• L’Association des Danseurs
• L’ACAP – Association Congolaise des Artistes Plasticiens

Objectifs des échanges

Ces rencontres s’inscrivent dans la volonté du Ministère de la Culture, Arts et Patrimoine de construire, en collaboration avec les principaux concernés, un modèle de gestion des droits d’auteur plus juste, représentatif et durable. L’objectif est de renforcer la reconnaissance et la protection des créateurs tout en favorisant le développement harmonieux du secteur culturel.

Ces consultations témoignent de l’engagement du Ministère à valoriser la diversité culturelle et à soutenir les artistes dans leurs démarches professionnelles, afin de garantir un avenir prospère pour la culture congolaise.

Le Chef Coutumier du village Tshimpi Joseph Mbengu Mpaka a racontré  Monsieur le Maire Dominique Nkodia Mbeti dans son Bureau de travail. Leur exchange a porté sur le projet de construction d'un mauselée en vu d'honnoré la memoire de l'illustre, ancetre du village Mbengu Mbengu et la réfection du route qui va du village Tshimpi jusqu'au fleuve Congo, servant ainsi de raccourci pour tout ce qui font la navette Tshimpi - MATADI comme le confirme le chef Coutumier Mpaka.