Le stade de football récemment inauguré dispose de plusieurs compartiments spécialement aménagés, notamment des vestiaires modernes pour les équipes, des gradins confortables pour les spectateurs, ainsi qu’un dispositif de sécurité renforcé destiné à protéger les athlètes lors des compétitions.

Une infrastructure conforme aux normes internationales

Ces aménagements ont permis au stade d’obtenir l’homologation officielle de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA). Cette reconnaissance garantit que le stade répond aux standards internationaux en matière de sécurité, de confort et d’équipements sportifs, ouvrant ainsi la voie à l’organisation de matchs officiels et d’événements sportifs de grande envergure.

Un atout majeur pour le développement sportif local

Grâce à cette homologation, le stade devient un lieu privilégié pour accueillir des compétitions nationales et internationales, contribuant ainsi à la promotion du football et au développement des talents locaux. Il offre également un cadre sécurisé et professionnel pour les athlètes, favorisant la pratique sportive dans des conditions optimales.

Le Président intérimaire et Secrétaire général de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Augustin Kabuya, a reçu lundi 7 juillet 2025 une délégation du Bureau de l'Assemblée provinciale du Kasaï-central, conduite par son président Daniel Lukusa. Cette délégation est venue informer le Chef du parti présidentiel des menaces de destitution pesant sur son Bureau, liées au contrôle envisagé sur des détournements de fonds publics destinés aux projets de développement de la province. La majorité des décaissements avait été effectuée avant l'entrée en fonction de l'équipe actuelle.
« Nous avons rencontré le Secrétaire général de l'UDPS et président intérimaire du parti pour lui exposer la situation au Kasaï-central, qui est celle d'une crise artificielle orchestrée par des individus clairement identifiés. Nous avons reçu des directives précises et fermes. Cette crise au sein de l'Assemblée provinciale oppose 18 députés à 14 autres, dont les instigateurs de cette crise se trouvent actuellement à Kinshasa pour défendre leurs intérêts personnels », a expliqué le président du Bureau de l'Assemblée du Kasaï-central à l'issue de son entretien avec Augustin Kabuya.

Donald Kabasele, notable du Kasaï-central, a ajouté que la lutte actuelle menée par les corrompus et corrupteurs vise à installer un nouveau Bureau afin d'effacer les traces de ces détournements.

« Il n’est plus un secret pour personne qu’un groupe de détourneurs des deniers publics, passibles de corruption, a géré plus de 300 millions de dollars américains, des fonds destinés à la réalisation de nombreux projets au Kasaï-central, notamment la voirie urbaine, l’électricité, l’eau et d’autres projets connexes. Avant l’arrivée de l’équipe actuelle, ces décaissements avaient déjà été effectués. Sur le terrain, aucun début de travaux n’est visible ; il s’agit plutôt de manœuvres visant à donner l’illusion d’un lancement des travaux. Face à la volonté du Bureau de l’Assemblée provinciale d’ouvrir cette boîte de Pandore pour interroger les bénéficiaires des fonds publics et vérifier l’état des travaux, une campagne a été lancée contre le Bureau afin de le démettre et de le remplacer. En tant que notable du Kasaï-central, nous ne pouvons tolérer que les corrompus et corrupteurs imposent leur loi », a-t-il déclaré.
Auprès d’Augustin Kabuya, SG de l’UDPS et président intérimaire du parti présidentiel, la délégation a reçu des orientations visant à mettre un terme à ces divergences et à tracer la voie du développement pour le Kasaï-central.

Source : Cellcom UDPS/TSHISEKEDI 

Les Kinois sont invités à participer en masse au grand rassemblement organisé pour soutenir l’adhésion au CNARC, sous la direction de l’honorable Aimé Pascal MONGO. Cet événement marque un moment fort dans la mobilisation citoyenne et politique de la capitale.

Lancement officiel de la campagne de sensibilisation par la DLK

La Dynamique de la Ligue des Kinois (DLK) lance officiellement sa campagne de sensibilisation à cette occasion. L’objectif est d’informer et d’encourager chaque habitant de Kinshasa à s’engager activement dans ce mouvement, afin de renforcer la présence et l’influence du CNARC dans toutes les communes de la ville.

Une mobilisation totale pour Kinshasa

Le slogan « Pas une seule parcelle à Kinshasa sans le CNARC » illustre la volonté de couvrir intégralement la capitale, en touchant chaque quartier et chaque communauté. Cette démarche vise à créer un réseau solide et dynamique, capable de porter les aspirations des Kinois au niveau national.

Ne manquez pas cette occasion unique de participer à un moment historique pour Kinshasa et pour la RDC.

La République Démocratique du Congo (RDC) fait face à une infiltration persistante de personnalités originaires du Rwanda, dont les parcours et implantations dans différentes régions du pays soulèvent des questions sur les dynamiques politiques et sécuritaires actuelles.

Figures clés et leurs origines

• Moise Nyarugabo : Née Muhizi Mugeyo Nyarugabo le 16 janvier 1968 à Kibuye, Rwanda. Il a immigré à Katongo, sur l’île d’Idjwi dans le Sud-Kivu.
• Bizima Karaha : Né Bizimana Karamuheto en 1959 à Huye, Rwanda. Sa famille s’est installée à Uvira, Sud-Kivu, en 1962.
• Deogracias Bugera : Né Habayimana Bigeragezo Biragenda le 14 octobre 1957 à Butare, Rwanda. Sa famille s’est établie à Masisi, Nord-Kivu.
• Bosco Ntanganda : Né Rutaganda Ntibatunganya Bosco le 5 octobre 1973 à Kiningi, Rwanda. Il s’est installé à Bunagana, Nord-Kivu.
• Azarias Ruberwa : Né Ruberwanga Manywa Abagabo le 20 août 1964 à Cyangugu, Rwanda. Sa famille a pris racine à Fuzi, Sud-Kivu, en 1965.
• Laurent Nkunda : Né Uzewera Nkundabatware le 6 février 1967 à Ruhengeri, Rwanda. Sa famille s’est implantée à Rutshuru en 1970.
• Willy Ngoma : Né Ngarurira Ingoma Rutikanga en 1974 à Kiningi, Rwanda. Il a été élevé par sa tante à Kiwanja, dans le Nord-Kivu.
• Bertrand Bisimwa : Né Bizimana Biretwa le 12 octobre 1975 à Bukavu. Il est issu d’un père tutsi rwandais et d’une mère congolaise. Son père était un cousin de Barthélémy Bisengimana.

Réflexion sur la situation

Face à cette réalité, il est légitime de se demander si des signes plus évidents, tels que des « tonnerres venant du ciel » ou le « son des trompettes des anges », seraient nécessaires pour éveiller la conscience des populations et des autorités sur l’ampleur de cette infiltration. Cette interrogation souligne la complexité et la gravité des enjeux liés à la souveraineté et à la sécurité en RDC.

Analyse Mulwila J'osais

Djessy shungu, Point Focal©️

Lors des commémorations du 65e anniversaire de l’indépendance de la République Démocratique du Congo, Ibrahim Kabila, fils de l’ancien président Mzee Laurent-Désiré Kabila, a exprimé publiquement ses félicitations à la Radiotélévision Nationale Congolaise (RTNC). Il a salué la décision de ne pas diffuser l’image de celui qu’il désigne sous le nom de Mr Hippolyte Kanambe, également connu sous le nom de Joseph Kabila.

Un rejet symbolique

Ibrahim Kabila a justifié cette position en affirmant que « le fils de l'ami de mon feu père, Mr Hippolyte Kanambe, est devenu rebelle et ne peut plus être honoré par la République ». Cette déclaration souligne une rupture symbolique et politique entre les héritiers de Mzee Laurent-Désiré Kabila et Joseph Kabila, mettant en lumière les tensions persistantes au sein de la classe politique congolaise.

Contexte et implications

Ce geste de la RTNC, soutenu par Ibrahim Kabila, reflète une volonté de ne pas reconnaître officiellement Joseph Kabila lors d’un événement national majeur, ce qui peut être interprété comme une forme de désaveu public. Cette situation illustre les divisions profondes qui continuent d’affecter la scène politique congolaise, notamment autour de la figure de Joseph Kabila et de son héritage.

Le Vice-Premier Ministre de la Défense, Guy Kabombo Muadiamvita, s'est récemment rendu à Lemba pour rendre visite à Marie José Biuma, une ancienne parachutiste des forces armées. Âgée de 82 ans, Mme Biuma souffre de divers problèmes de santé liés à son âge avancé.

Cette militaire est reconnue pour ses exploits dans les années 1960, notamment ses sauts à haute altitude qui ont marqué son engagement au sein des forces armées. Récemment, elle avait sollicité une aide afin d'améliorer ses conditions de vie et de faire reconnaître officiellement ses services rendus à la nation.

La visite du Vice-Premier Ministre témoigne de la volonté des autorités de soutenir les anciens combattants et de valoriser leur contribution historique. Elle s'inscrit dans une démarche plus large visant à honorer ceux qui ont servi le pays avec courage et dévouement, tout en répondant à leurs besoins actuels.